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idem...je ne suis pas prêteuse, surtout les dvd, cd, livres...mais je prête quand même et j'enrage quand on ta
Par Clo16, le 06.10.2013
vous connaissez rien au rap!!!!!
Par jonas, le 17.04.2013
totalement daccord avec anonyme!!!lose r
Par Anonyme, le 09.03.2012
et moi, je dis que tu devrais te pencher un peu plus sur walter richard sickert... tu devrais te pencher un pe
Par Anonyme, le 24.02.2012
bonjour, j’espère que tu va bien , nous sa va pour le moment, beaucoup de brouillard ici même très épais sur l
Par robert87300, le 26.11.2011
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Date de création : 24.08.2010
Dernière mise à jour :
23.05.2012
207 articles
Il y a quelques jours, avant que ne commence le grand marathon des lipides de Noël, je suis allé au Patio dans le 12e pour satisfaire mon envie de pizza. Les critiques glanées ça et là sur le Net sont plutôt bonnes, et le resto présentait l'avantage d'être tout proche de l'endroit que MOPM et moi avions choisi pour finir la soirée.
Le resto est situé Cours de Vincennes, pas loin de Nation. Autant dire que le cadre ne fait pas rêver. On est même saisi d'une légère inquiétude en approchant la façade et en se rendant compte que, vu le quartier, les plans de repli sont rares.
En effet, lorsqu'on est à quelques mètres du Patio, on pense plutôt à un bistro un peu naze plein à craquer d'ivrognes. Pas idéal pour un samedi soir en amoureux.
De plus près, ça ressemble plus à une brasserie ordinaire pleine à craquer de gens de toutes sortes. Bref, le cadre est moche et invite peu à la détente. Mais on n'est pas venu là pour admirer la tapisserie. Dans les assiettes, les pizzas, en forme de coeur, font pardonner l'ambiance kermesse, d'autant que le patron a le bon goût de ne pas diffuser Eros Ramazotti ou Zucchero. Les ingrédients sont bons, la cuisson met en valeur l'ensemble, bref, pour une pizza parisienne, celle du Patio est excellente.
La carte des vins offre un choix assez large et celui qui a atterri sur notre table nous a bien convaincus. Pour les desserts, passez votre chemin, mon café gourmand à 8 euros était un mini-éventail de desserts Alsa, pas de quoi se pâmer.
La note est assez chère pour une pizerria, je crois que les pâtes et pizzas tournent autour de 14 euros. En somme, le Patio semble parfait pour une commande à emporter.
Comme le titre du billet l'indique, je suis retournée dans un restaurant qui propose une carte de salades qui contiennent chacune des pommes de terre dans un volume avoisinant le mètre cube.
Il s'agit cette fois du "Relais Gascon", toujours dans le quartier de PIgalle. C'est un bon spot pour s'alimenter avant de faire une tournée des bars ou après le théâtre.
Si le cadre est totalement dépourvu de charme, la carte est assez large et offre des alternatives aux salades de tubercules. Dans un souci de pousser à ses limites mon étude comparative, j'ai opté pour une desdites salades, avec un petit verre de rosé qui se défendait. C'est toujours facile d'évaluer la qualité du rosé dans une brasserie, s'il est servi à la température d'un Mr Freeze, c'est que vraisemblablement, il est dans l'intérêt du consommateur que le goût du produit soit masqué.
Ici aussi, donc, de la patate, mais, ô joie et bonheur, on retrouve en proportions raisonnables les autres ingrédients dont le menu stipule qu'ils composent le plat.
Le cadre du Relais Gascon est totalement dépourvu de personnalité, l'ambiance pas spécialement marrante. (Je ne suis pas masochiste, j'y suis allée parce que c'est l'endroit préféré d'une des copines avec qui je passais la soirée). En revanche, les service est ultra rapide, efficace et aimable sans être chaleureux. Les modifications demandées par les Sally en puissance ( cf "Quand Harry rencontre Sally") sont accueillies de façon impassible et exaucées.
Si vous trouvez une bonne pièce à voir avant et des bars sympa à visiter après le repas, le "Relais Gascon" remplira son office. On y mange correctement mais on ne garde pas de souvenir particulier du moment passé sur place.
Ma lecture du moment me prend du temps. La création de ma rubrique "Restaurants" me rend bien service, vu que je mange avec une régularité qui ne faillit jamais.
Traînant du côté de Pigalle la semaine dernière, j'ai atterri à "La marmite" pour la première fois depuis sa réouverture après travaux. Je gardai un souvenir ému des salades généreuses, mêlant pommes de terre, fromage et légumes. C'était une bonne adresse pour les sorties de concerts ou les déjeuners en semaine.
Pas toujours aventureuse, j'ai choisi ma salade habituelle, nommée là-bas "montmartroise" qui, jadis, contenait deux belles tranches de jambon italien, pas mal de mozarella qui fondait au contact de pommes de terre tièdes et croustillantes. Des poivrons, des haricots verts venaient rafraîchir l'ensemble.
Le temps des économies est venu. Les salades restent gargantuesques, mais composées à 80 % des pommes de terre. Plus de poivron, haricots raréfiés, jambon réduit à la portion congrue, mozarella clairsemée... Les produits restent corrects, le savoir-faire est toujours là mais j'aurais préféré que les portions réduisent globalement pour conserver les proportions satisfaisantes.
Les prix restent raisonnables, le service, rapide et les quantités suffisantes pour faire l'impasse sur le dessert quand on est fauché et/ou pressé. Par ailleurs, le cadre clair et propre et la situation proche du métro sont appréciables dans le quartier.
Pas de quoi en faire sa cantine, mais la certitude de manger frais et vite. Ce n'est pas toujours le cas dans le quartier touristique.
Enfin, j'inaugure ma rubrique "restaurants", histoire de commencer à parler cuisine.
Ce samedi, gentleman, MOPM m'a invitée à "L'Ordonnance" dans le 14e. A côté de la place Michel Audiard, voilà un resto "qui disperse et qui ventile". Décor assez chic avec quelques livres de cuisine ou sur les vins pour planter l'ambiance et personnel hétérogène (une dame aux ongles d'une couleur qui font passer les miens pour fades, une serveuse très "hôtellerie"...) l'Ordonnance a sa personnalité.
Placés près des cuisines, nous le fumes également un peu trop de nos voisins, à la conversation consternante et un peu trop audible eu égard à la proximité.
Dans l'assiette se succèdent autant de raisons de faire abstraction des voisins de table. En entrée, je n'ai pas regretté mon choix de foie frais sur lentilles de Puy. Le patron aime bien les bons produits et prend parfois le temps de les expliquer si on reste un peu tard. Les croquant de mes petites lentilles avec le moelleux du foie, je me suis dit que ça donnerait de la belle rondeur à mes fesses et certainement pas un bourrelet supplémentaire à ma bouée. Si c'est un bon produit, ça peut pas faire de mal.
La suite s'est matérialisée sous la forme d'un morceau de cochon plutôt généreux et de son nom moins sympathique risotto aux champignons, très crémeux. J'ai terminé la bataille ( car déjà, à ce stade du repas, en ayant fait honneur au vin, on s'affaiblit) contre une tarte fine aux pommes et caramel salé. De bonne facture, elle ne vaut pas leur extraordinaire crème au chocolat, trop balèze pour moi ce soir-là. Si quand je dis "balèze", vous craignez l'addition, pas de problème. Vu la qualité, on ne peut que se réjouir. 25 euros pour entrée + plat ou plat+ dessert et 32 euros pour une posologie en trois prises. Un peu comme des médicaments, on ne peut pas abuser de l'Ordonnance, mais ça reste jouable quand l'occasion de fêter quelque chose se présente.
MOPM et moi sommes d'accord, l'Ordonnance est un endroit si bien qu'on peut y emmener les parents gastronomes et exigeants.