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Date de création : 24.08.2010
Dernière mise à jour : 23.05.2012
207 articles


cinéma

Du pain, des jeux, des stars

Publié le 23/05/2012 à 18:34 par unanpourecrire Tags : Huner Games Harrelson Lenny Kravitz Donald Sutherland
Du pain, des jeux, des stars

Décidément pas dans une semaine intello, j’ai consacré une partie de mon samedi à traverser la ville pour me caler dans un siège devant « Hunger Games ». J’étais plutôt intriguée devant cette série blockbusterienne supposée prendre la relève de « Twilight ». Cette seule affirmation, plutôt douteuse en termes d’efficacité quant à la promotion de la qualité d’un film, n’a pas suffi à me faire reculer.

Le petit côté Girl Power et baston suscitait ma curiosité. Mes attentes, pourtant modérées, ont été à peu près satisfaites. Comme « Je te promets », « Hunger Games » est le parfait...

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L’infiniment grand et l’infiniment petit

Publié le 25/11/2011 à 14:02 par unanpourecrire Tags : Zabou Gourmet politique Michel Blanc
L’infiniment grand et l’infiniment petit

On le sait, j’aime bien me la raconter. Je pouvais pas rester une semaine sur le post d’  "Intouchables". Parce que moâ,madâme, môssieu, je suis allée voir « L’exercice de l’Etat », un film politique avec Michel Blanc dedans. Habituellement, ce qui démasque les arcanes du pouvoir bénéficie par mon cerveau d’une analyse aussi pointue que les histoires de mafia. Rien à faire, je décroche, jamais stimulée par les enjeux de la fiction. Sauf que « L’exercice de l’Etat » échappe à la règle. Même quand comme moi, on a une méga culture en OPI (comprend qui peut) on pige tout.

 

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No Future

Publié le 10/11/2011 à 13:17 par unanpourecrire Tags : Winslet Di Caprio Mendes
No Future

Privés de télé et d’internet en ce moment, MOPM et piochons dans le stock de DVD commun pour occuper les soirées passées à domicile. Récemment, j’ai pu le convaincre de visionner « Away We Go », un Sam Mendes qui m’avait d’autant plus touchée qu’il faisait suite au sombre « Noces rebelles ». Il me semble que les deux fonctionnent comme un diptyque et, une fois « Away we go » revu, j’ai imposé, en bonne fasciste cinématographique que je suis, « Les noces rebelles » à MOPM.

 

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Joy et Bonheur

Publié le 29/09/2011 à 05:28 par unanpourecrire Tags : Hathaway 15 juillet cinéma amour
Joy et Bonheur

Coupe du monde de rugby oblige, il m'arrive de déserter l'appartement matrimonial de bon matin pour fréquenter les rares cinémas qui proposent des séances avant 11h  du mat. J'ai toujours trouvé un charme particulier à la séance de 9h15, voire 9h05. C'est les yeux tout collés que je m'y présente, avec, chaque fois, l'impression autosatisfaite d'être une VRAIE passionnée de cinéma, limite  nerd ( qui accepterait de sortir d'une torpeur pour plonger dans une autre de si bon matin, et sans le secours de drogues quelconques ?) alors que c'est à ce genre d'occasion que j'ai vu "Twilight" et plus récemment "Un jour".

C'est un fait, à 9h15, une cinéphile s'endort, une midinette s'éveille. J'ai vu "Un jour" malgré l'affiche, photo aussi dégoulinante que sépia où on a l'impression, voyant un couple s'embrasser, qu'Anne Hathaway (puisque c'est d'elle qu'il s'agit)  virevolte de bonheur et ne touche plus terre, transportée du bonheur d'être aimée. Bon, déjà, cette idée que la femme s'envole quand on l'aime, ça me laisse comme qui dirait perplexe. Enfin, pas au point de m'avoir empêchée de voir le film.

Eh bien sachez-le, si vous refusez de manger des chamallows parce que vous craignez que ce ne soit assimilable  à de l'autophagie, allez gaiement suivre le quotidien de cet amour éternel. Ouais, je sais, j'ai le don de faire peur. Pourtant - et la honte m'étreint - je n'ai pas détesté "Un jour". j'ai même plutôt bien aimé. La forme m'a paru assez sympa : un enchaînement de vignettes, la succession d'une bonne douzaine de 15 juillet dans la vie de protagonistes.

Plus ludique que le sempiternel "1 an plus tard", elle associe la facilité à prendre ses repères avec les personages au prétexte à une BO invraisemblable. Et je pèse mes mots : pour ceux et celles que je n'ai pas découragés de voir "Un jour", préparez-vous à y entendre "Joy" de François Feldman. I MEAN IT.

Comment passer le temps un dimanche

Publié le 27/09/2011 à 08:37 par unanpourecrire Tags : Aniston Farrelly Apatow cinéma
Comment passer le temps un dimanche

Quand je suis dans une mouvance intello, rien ne m'arrête. C'est mue par cet élan vers le Savoir que j'ai enchaîné "Comment tuer son boss" juste après "Destination Finale 5".Comédie américaine de bonne facture mais quelque peu oubliable ," Commet tuer son boss" se démarqie surtout par sa volonté de faire penser aux Farrelly et à Apatow.

Traînent ainsi ça et là, des blagues de cul plutôt potaches et pas bien méchantes et des grands moments de solitude pour planter les personnages. Sont suivies ici les aventures de 3 loosers middle class qui subissent, comme tout à chacun, les avanies de patron injustes et méchants. Il est clair qu'on est pas là pour l'intrigue, aussi complexe que celle de Blanche-Neige. N'importe, on vient  pour voir Aniston en nympho pathologique, Colin Farrell en vilain chauve et Kevin Spacey marié à une bimbo.

Jamie Foxx vient agrémenter l'ensemble, telle la cerise sur le gâteau, en bandit aussi dangereux qu'une armée de playmobils kleptomanes....

Bref, "Comment tuer son boss" relève presque de la SF tant il tire son pouvoir comique de l'invraisemblable.On rit franchement, on oublie vite l'histoire, on retient les performances d'acteurs.

Scared to Death

Publié le 21/09/2011 à 17:06 par unanpourecrire Tags : destination finale horreur hémoglobine saga
Scared to Death

Après le film d'auteur, j'ai tout naturellement enchaîne avec un film d'horreur, et, plus précisément ma saga"guilty pleasure" : Destination Finale. Au 5e épisode, je ne me lasse toujours pas. J'ai même écrasé une larme quand, avec le générique de fin de celui-ci, j'ai encaissé l'aveu que fait la production : Destination Finale, c'est fini.

Avec son second degré plus ou moins assumé selon les épisodes et sa gore attitude réjouie, Destination finale c'est un peu "L'hémoglobine pour les nuls". Si tu n'es rien qu'une femellette qui fait des cauchemars à cause de "28 jours plus tard" mais que, quand même, t'aimes bien grogner des "beurk", des" Oh non" et des " dé-gueu" dans les salles obscures, cette saga te plaira.

D'aucuns - et qui poura les en blâmer  ?- argureront que l'épisode 4 est lamentable et que depuis le 1, le fan voyait son surtout sa fidélité mise à l'épreuve. Certes oui, mais le 5, mes enfants, quelle récompense ! Dès que je suis sortie de la salle, j'ai tout spoilé MOPM tellement j'étais excitée par l'ingéniosité de la fin, l'innovation scénaristique de cet épisode (même si "au royaume des aveugles...").

Le plaisir de celui-ci réside dans le fait que puisqu'on a donné au réalisateur ( en bonne snob, je n'ai pas pris la peine de retenir son nom) un cahier des charges, il le suit en bon petit soldat. Mais là, on a affaire à un vrai film  de geek dans le bon sens du  terme : chaque détail est pensé et repensé, et l'incohérence est l'ennemie à abattre.

Du coup, au lieu de se retrouver devant un sous-Freddy bâclé, le spectateur se réjouit devant cet excellent nanar. 0 propos, 100 % divertissement.

Bien entendu

Publié le 18/09/2011 à 21:03 par unanpourecrire Tags : mastroianni deneuve honoré delpech
Bien entendu

Alors que j'ai vu 6 films récemment sans en parler ici pour cause de vie professionnelle mouvementée, j'accumule un retard qui sera bientôt difficile à rattraper. Pour vous la faire courte, j'ai poursuivi sur ma lancée, oscillant entre films d'auteurs et films d'horreur, films intello chiants et films chiants.

Juste après "La Piel que habito", j'ai profité de l'ajout momentané à l'affiche du cinéma de mon quartier des "Bien-Aimés". Je suis pas spécialement fan de Christophe Honoré, mais, on le sait, un peu plus d'Alex Beaupain, ce qui constitue un argument assez solide pour découvrir cet objet parisien.

Comme cela a été dit dans la presse, le charme des "Bien-aimés" réside essentiellement dans son aspect "saga", plutôt novateur pour un film d'Honoré.C'est l'occasion d'inscrire les fantaisies amoureuses vécues avec plus ou moins de bonheur par la mère et la fille dans un contexte politique, et, plus généralement, social. La représentation des sentiments s'éloigne un peu de l'esthétique habituelle que je trouve parfois un peu vaine chez M."Chansons d'amour".

Mais avoir de la personnalité, c'est aussi comporter des défauts. Comme on cède à une vilaine manie,Honoré ponctue et illustre son film de bonnes chansons mal chantées. Si Demy a refusé à Deneuve de chanter son rôle dans "Peau d'âne", c'est sans doute parce que son inspiration s'accompagnait de bon sens. Deneuve chante comme écrit  Marc Lévy, c'est-à-dire faux et en minaudant.  L'ironie de la chose, c'est que Michel Delpech est le seul à ne pas chanter, un peu comme si le réalisateur renâclait à faire entendre quatre notes justes à la suite.

C'est bien dommage, car cette avanie ne met guère en valeur la poignante vie de Véra, interprétée par une Chiara Mastroianni aussi délicate qu'inspirée. Pour qui aime les comédies musicales, "Les bien-aimés" plaira par son sens de la tragédie lyrique mais décevra à cause de sa bande-son poseuse.

Ethique esthétique

Publié le 09/09/2011 à 04:51 par unanpourecrire Tags : almodovar banderas paredes
Ethique esthétique

Parfois, mon cinéma de quartier passe autre chose que des Blockbusters et  des productions Pixar. C'est ainsi que j'ai vu "La Piel que Habito" quelques jours à peine après sa sortie. Comme pour Woody Allen, je ne rate jamais  la sortie d'un Almodovar au ciné depuis plusieurs années. Non pas que je sois une fan absolue, mais j'entretiens un mélange de fascination et de curiosité suffisamment tenace pour expliquer cette fidélité.

Le duo "Parle avec elle" "La mauvaise éducation" commençait à m'éloigner de lui. Tant de pathos coloré, pas une once d'espoir, tout ça, à mes yeux étouffait un peu le propos et l'intérêt de ce que j'aime dans son  travail.

"La Piel que Habito" semble diviser le public. Je me situe nettement du côté de ceux qui ont aimé. Certains n'y reconnaissent pas la patte du réalisateur, pour ma part, je trouve qu'entre la présence de Marisa Paredes en figure maternelle (voire matriarcale), Antonio Banderas en obsessionnel, le motif de l'enfermement et la présence d'une actrice inconnue en France et d'une beauté surnaturelle ( cf "Parle avec elle" "Tout sur ma mère" et "Volver"), Amodovar poursuit son oeuvre avec une cohérence sans faille.

En revanche,  et ce n'est pas nécessairement pour me déplaire, il est vrai que "la Piel que habito" est plus accessible que nombre de ses films précédents. Si l'histoire se met en place progressivement, la narration accompagne davantage le spectateur en s'agrémentant de moins d'effets. Ca représente pour moi un atout et j'ai été captivée à un rythme plus constant que d'habitude. Enfin, ce qui reste intact et vivace, c'est le pouvoir des films d'Almodovar de rester en tête plusieurs jours. Comme pour tous les bons films,"La piel que habito" ne donne pas de leçon, mais crée des doutes. Un vrai plaisir pour le spectateur.

Je est un autre

Publié le 05/09/2011 à 05:13 par unanpourecrire Tags : hands thierée miller
Je est un autre

Depuis mon retour de vacances, j'ai multiplié les  séances de cinéma pour rattraper un peu le retard que j'avais pris. Ma priorité fut d'aller voir "Voyez comme ils dansent", sorti début aôut et dont  rien ne me faisait penser qu'il rencontrait un succès suffisant pour être diffusé pendant de nombreuses semaines.

Une des raisons de mon envie de voir le dernier Miller réside en la personne de James Thiérée. Chacun de ses spectacles à Paris affichant complet en un temps record, je n'ai jamais pu aller le voir alors qu'il m'intrigue pas mal. Si" Voyez comme ils dansent" offre un échantillon de ses performances scéniques, c'est plutôt le talent d'actrice de Marina Hands qu'il met en valeur. Elle m' a conquise dans son interprétation de la conquérante grippée.

A travers les méandres de la vie amoureuse, Miller sonde les mystères de l'âme humaine. L'amour rend protéiforme et il est impossible de jamais connaître la personnalité " à l'état de nature" de l'objet  de notre affection. Quand deux femmes ont aimé le même homme mais que l'une a connu un  artiste et l'autre un  terrien, il est vain de chercher à savoir si l'une ou l'autre a saisi la vérité du personnage. Mais l'amour s'accomode mal des bénéfices du pragmatisme, et c'est dans cette quête vouée au vide que se lance Lise. En cherchant à donner une consistance supplémentaire à ses souvenirs, elle tente de satisfaire le besoin de savoir qu'elle n'a pas vécu une liaison frelatée, faite  d'illusions et de compromis trop nombreux. C'est évidemment elle, le Graal de sa quête et pas son ex-mari.

C'est toujours un peu soi qu'on aime à travers l'autre, et Miller le dit avec une sage bienveillance...

Spice Girls

Publié le 19/08/2011 à 14:24 par unanpourecrire Tags : rose byrne apatow
Spice Girls

Dans mon Panthéon cinématographique, je place Judd Apatow sur la même marche qu'Agnès Varda. Autant dire, un chouia plus haut que Fabien Onteniente. C'est suivant cette échelle que je suis allée voir "Mes meilleures amies".

Sur le modèle de la comédie de garçons potache et bien troussée, celle-ci n'innove que par l'omniprésence des femmes et la description de l'univers impitoyable des préparatifs de mariage. Un peu de vomi, un peu de cul, plusieurs scènes de "grands moments de solitude". C'est à première vue ce qu'on pourrait retenir de "Mes meilleures amies". Mais, entre ce qui se détache " à première vue" et ce qui fait le sel d'une prod Apatow,il ya bien souvent tout un monde.

Ici, c'est d'amité féminine qu'il est question. Quand deux meilleures copines s'éloignent l'une de l'autre, c'est régulièrement une forme de "réussite sociale" qui en est à l'orgine. Alors, qu'en sortant de l'adolescence, on se débarasse tant bien que mal du handicap d'être la moins jolie, la moins populaire ou la moins charnue des balconnets, la compét de la vie d'adulte vient prendre le relais.

Pas besoin d'expliquer que c'est celle qui se marie le plus vite qui "gagne". Sous le fardeau de ces craintes, Annie cherche à tout prix à garder sa meilleure copine, tout en luttant contre l'outsider Rose Byrne, des collocs immondes et un plan baise qu'elle prend pour son mec.

L'ensemble est assez bien vu, très drôle par moments, pas si téléphoné et agrémenté de Britney, Hole et Fiona Apple.Bref, aussi juste qu'un film d'Agnès V. CQFD.