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Date de création : 24.08.2010
Dernière mise à jour : 23.05.2012
207 articles


Joy et Bonheur

Publié le 29/09/2011 à 05:28 par unanpourecrire Tags : Hathaway 15 juillet cinéma amour
Joy et Bonheur

Coupe du monde de rugby oblige, il m'arrive de déserter l'appartement matrimonial de bon matin pour fréquenter les rares cinémas qui proposent des séances avant 11h  du mat. J'ai toujours trouvé un charme particulier à la séance de 9h15, voire 9h05. C'est les yeux tout collés que je m'y présente, avec, chaque fois, l'impression autosatisfaite d'être une VRAIE passionnée de cinéma, limite  nerd ( qui accepterait de sortir d'une torpeur pour plonger dans une autre de si bon matin, et sans le secours de drogues quelconques ?) alors que c'est à ce genre d'occasion que j'ai vu "Twilight" et plus récemment "Un jour".

C'est un fait, à 9h15, une cinéphile s'endort, une midinette s'éveille. J'ai vu "Un jour" malgré l'affiche, photo aussi dégoulinante que sépia où on a l'impression, voyant un couple s'embrasser, qu'Anne Hathaway (puisque c'est d'elle qu'il s'agit)  virevolte de bonheur et ne touche plus terre, transportée du bonheur d'être aimée. Bon, déjà, cette idée que la femme s'envole quand on l'aime, ça me laisse comme qui dirait perplexe. Enfin, pas au point de m'avoir empêchée de voir le film.

Eh bien sachez-le, si vous refusez de manger des chamallows parce que vous craignez que ce ne soit assimilable  à de l'autophagie, allez gaiement suivre le quotidien de cet amour éternel. Ouais, je sais, j'ai le don de faire peur. Pourtant - et la honte m'étreint - je n'ai pas détesté "Un jour". j'ai même plutôt bien aimé. La forme m'a paru assez sympa : un enchaînement de vignettes, la succession d'une bonne douzaine de 15 juillet dans la vie de protagonistes.

Plus ludique que le sempiternel "1 an plus tard", elle associe la facilité à prendre ses repères avec les personages au prétexte à une BO invraisemblable. Et je pèse mes mots : pour ceux et celles que je n'ai pas découragés de voir "Un jour", préparez-vous à y entendre "Joy" de François Feldman. I MEAN IT.